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Libertés. En Syrie, on criminalise les émojis

Nouvel épisode dans la longue série des restrictions de la liberté d’expression par le régime syrien. Voilà qu’il s’arroge le droit de considérer certains émoticônes comme un élément pouvant constituer certains types de délit.

La menace, l’insulte ou la calomnie peuvent être exprimées de plusieurs manières, notamment par un émoji. Dans ce cadre, ll peut constituer un cybercrime si l’intentionnalité du délit est établie, explique le chef du bureau syrien de lutte contre la cybercriminalité, le colonel Louay Chalich, dans Al-Baas, l’organe de presse du parti au pouvoir en Syrie.

“Dans de nombreux pays, assure le journal syrien, des procès ont eu lieu après l’utilisation d’émoticônes comme ceux représentant un couteau, considéré comme une menace de mort, un baiser, comme du harcèlement, ou des animaux, comme insulte.”

La seule utilisation d’un émoji n’est pas criminalisée par la loi, souligne cependant une avocate citée par Al-Baas, à moins que celui-ci ne constitue un élément de preuve de l’intention criminelle de son émetteur.

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“Ainsi donc l’émoji peut servir de chef d’accusation, comme d’autres, en cas de besoin […] contre des civils ou des activistes sous couvert légal”, écrit Al-Modon. Les déclarations du colonel Chalich

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