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L'Europe finit peu changée après les chiffres de l'emploi US

LES BOURSES EUROPÉENNES TERMINENT EN ORDRE DISPERSÉ

PARIS (Reuters) - Les Bourses européennes ont terminé en ordre dispersé mais sur de faibles variations vendredi, les investisseurs estimant que la publication du rapport mensuel sur l'emploi aux Etats-Unis ne devrait pas troubler la politique monétaire de la Réserve fédérale.

À Paris, le CAC 40 a terminé en baisse de 0,02% à 6.552,86 points. Le Footsie britannique a cédé 0,03% et le Dax allemand a gagné 0,3%.

L'indice EuroStoxx 50 a avancé de 0,13%, le FTSEurofirst 300 de 0,13% et le Stoxx 600 de 0,26%.

A Wall Street, les trois principaux indices boursiers évoluaient en légère hausse au moment de la clôture en Europe.

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Le rapport du département du Travail a montré que l'économie américaine a créé 850.000 en juin, un chiffre supérieur au mois précédent et au-dessus du consensus Reuters.

Le taux de chômage a toutefois augmenté à 5,9% après 5,8% en mai alors que le salaire horaire moyen a quant à lui augmenté de 0,3% en juin.

"Alors que les pressions salariales s'intensifient clairement, le rapport sur l'emploi rassure globalement. Le marché du travail américain s'améliore mais pas encore suffisamment pour forcer la Réserve fédérale à adopter un ton plus agressif ("hawkish")", a déclaré Hugh Gimber, stratège chez J.P. Morgan Asset Management.

VALEURS

Au niveau sectoriel en Europe, le compartiment du transport et des loisirs a perdu 1,64% grâce à la reprise de l'économie tandis qu'à l'opposé, les banques (-1,34%) ont souffert du recul des rendements obligataires.

A Paris, BNP Paribas (-1,89%) et Société générale (-2,45%) ont été les plus fortes baisses du CAC 40 alors que STMicroelectronics (+2,26%) a fini en tête de l'indice.

Lagardère a avancé de 6,06%. Arnaud Lagardère, héritier du groupe, dispose d'une participation plus faible qu'annoncé après la modification de la structure du capital, qui le prive de tout droit de veto sur les décisions stratégiques, face aux convoitises à peine voilées de ses grands actionnaires.

ASM International a pris 2,47% après avoir annoncé des prises de commandes supérieures à ses attentes au deuxième trimestre.

CHANGES

Le dollar, qui a atteint dans la matinée un pic de trois mois, recule face à un panier de devises internationales après les données sur l'emploi aux États-Unis.

"Nous avons d'abord réagi positivement à la statistique (...) puis nous nous sommes ravisés en raison de certains détails comme le taux de chômage plus élevé", a déclaré Vassili Serebriakov, stratège sur les devises chez UBS.

L'euro enchaîne sa cinquième séance de baisse face au billet vert et se traite autour de 1,184 dollar.

TAUX

Les rendements obligataires de référence dans la zone euro ont poursuivi leur repli, sous -0,24% pour le Bund allemand à dix ans, au plus bas depuis le 16 juin.

Les bons du Trésor américain à dix ans affichent de leur côté un rendement de 1,4424%, en baisse de près de quatre points.

PÉTROLE

Le marché pétrolier hésite après le report à ce vendredi des discussions des pays de l'Opep+ sur leur stratégie de production alors que les Emirats arabes unis s'opposent à un accord sur l'augmentation de la production, un blocage qui risque de se traduire par une diminution de l'offre mondiale et une nouvelle hausse des cours.

Le Brent cède 0,08% à 75,17 dollars le baril et le brut léger américain (West Texas Intermediate, WTI) gagne 0,3% à 76 dollars.

(édité par Sophie Louet)