Publicité
La bourse est fermée
  • CAC 40

    8 022,41
    -0,85 (-0,01 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    4 918,09
    -18,48 (-0,37 %)
     
  • Dow Jones

    37 986,40
    +211,02 (+0,56 %)
     
  • EUR/USD

    1,0661
    +0,0015 (+0,14 %)
     
  • Gold future

    2 406,70
    +8,70 (+0,36 %)
     
  • Bitcoin EUR

    60 127,53
    +2 004,16 (+3,45 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 371,97
    +59,34 (+4,52 %)
     
  • Pétrole WTI

    83,24
    +0,51 (+0,62 %)
     
  • DAX

    17 737,36
    -100,04 (-0,56 %)
     
  • FTSE 100

    7 895,85
    +18,80 (+0,24 %)
     
  • Nasdaq

    15 282,01
    -319,49 (-2,05 %)
     
  • S&P 500

    4 967,23
    -43,89 (-0,88 %)
     
  • Nikkei 225

    37 068,35
    -1 011,35 (-2,66 %)
     
  • HANG SENG

    16 224,14
    -161,73 (-0,99 %)
     
  • GBP/USD

    1,2370
    -0,0068 (-0,55 %)
     

L'Etat ne vendra pas d'actions Renault avant un cours "normal"

L'Etat ne réduira pas sa participation dans Renault avant que le cours de Bourse du constructeur automobile ne retrouve un cours de Bourse "normal", a déclaré vendredi le ministre de l'Economie, Emmanuel Macron. /photo prise le 14 janvier 2016/REUTERS/Jacky Naegelen

ERGUE-GABERIC, Finistère (Reuters) - L'Etat ne réduira pas sa participation dans Renault avant que le cours de Bourse du constructeur automobile ne retrouve un cours de Bourse "normal", a déclaré vendredi le ministre de l'Economie, Emmanuel Macron.

"Notre intention n'est pas de céder des actions pour que le contribuable perde de l'argent", a-t-il déclaré à la presse en marge de la visite en Bretagne d'une nouvelle usine Bolloré de bus électriques.

"Nous céderons les actions que je me suis engagé à céder pour revenir aux 15,01% que l'Etat détenait ces dernières années dans Renault quand l'action aura trouvé son prix normal", a ajouté Emmanuel Macron.

L'action Renault a clôturé en baisse de plus de 10% jeudi après la révélation de perquisitions de la Direction de la concurrence dans le cadre des vérifications des émissions polluantes lancées par le gouvernement français après l'affaire Volkswagen.

(Pierre-Henri Allain, avec Julien Ponthus, édité par Dominique Rodriguez)