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Les places Européennes restent indécises à la mi-séance

PARIS (Reuters) - Les principales Bourses européennes évoluent sur une note hésitante mercredi à la mi-séance et Wall Street est attendue en très légère hausse, les investisseurs étant en quête de nouveaux éléments au lendemain des déclarations de la Première ministre britannique sur le Brexit et dans l'attente de l'investiture de Donald Trump vendredi aux Etats-Unis.

La hausse est principalement soutenue par les résultats d'entreprises, à quelques déceptions près, mais les valeurs des médias, des ressources de base, des banques et des assurances pèsent sur la tendance avec des replis compris entre 0,4% et 1,85%.

À Paris, le CAC 40 recule de 0,47% (23,03 points) à 4.836,66 points vers 11h40 GMT. À Francfort, le Dax grignote 0,04% et à Londres, le FTSE avance timidement de 0,09%.

L'indice paneuropéen FTSEurofirst 300 perd 0,18%, l'EuroStoxx 50 de la zone euro 0,12% et le Stoxx 600 0,24%.

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Les futures sur indices new-yorkais signalent une ouverture de Wall Street en très lègre hausse après un repli mardi sous le coup notamment d'une baisse des valeurs financières et d'un essoufflement de l'effet Trump, à trois jours de l'entrée en fonction du nouveau locataire de la Maison blanche.

La séance à New York sera marquée par la publication à 19h00 GMT du Livre beige de la Réserve fédérale sur les conditions économiques aux Etats-Unis, suivie une heure plus tard par une prise de parole de Janet Yellen, la présidente de la banque centrale.

Aux valeurs, ASML bondit de 4,73%, plus forte hausse de l'EuroFirst 300 et de l'EuroStoxx 50. Le premier équipementier européen des semi-conducteurs a fait état d'un bénéfice net en hausse et supérieur aux attentes au quatrième trimestre et s'est montre optimiste pour cette année avec un carnet de commandes en hausse pour ses nouvelles machines.

Le groupe de luxe britannique Burberry [BRBY.L], en tête du Footsie, avance de 2,2%, également soutenu par ses résultats sur les trois derniers mois de 2016.

En revanche, l'éditeur britannique d'ouvrages pédagogiques Pearson dévisse de 27% après un nouvel avertissement sur ses résultats, signant la plus forte baisse à Londres.

Deutsche Bank réduit ses pertes (-0,40%) après avoir accusé une baisse de près de 1% dans la matinée. La banque allemande dit regarder désormais vers l'avenir après avoir réglé son litige aux Etats-Unis sur des prêts immobiliers.

Le secteur bancaire (-0,48%) recule dans son ensemble dans le sillage de Wall Street où il a subi des prises de bénéfice après son envolée faisant suite à l'élection de Donald Trump le 8 novembre. BNP Paribas, Crédit Agricole et Société générale figurent parmi les plus forts replis sur le CAC 40 avec des pertes comprises entre 1,5% et 2%.

A Paris, Cap Gemini perd plus de 2% après une baisse de recommandation de HSBC liée au manque de visibilité sur les perspectives à court terme du numéro un européen des services informatiques.

EDF s'adjuge à l'inverse 3,06%. Sa filiale RTE a dit que la France disposerait mercredi de ressources électriques suffisantes pour faire face à la vague de froid actuelle.

Sur le marché des changes, la livre sterling subit des prises de bénéfice en perdant près de 0,9% à 1,2306 dollar après avoir enregistré la veille sa plus forte hausse en une séance depuis 1998, à la faveur de la promesse de Theresa May de soumettre l'accord final sur le Brexit à un vote du Parlement.

Le dollar regagne également du terrain par rapport à l'euro (+0,26%) à 1,0684.

Sur le marché pétrolier, le Brent de la mer du Nord et le brut léger américain refluent de plus de 1%, à respectivement 51 et 54 dollars le baril, en raison d'une reprise attendue de la production américaine de pétrole de schiste.

(Avec Patrick Graham; Claude Chendjou pour le service français, édité par Véronique Tison)