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Les "mauvais élèves" du logement social en colère

Les "mauvais élèves" du logement social en colère

Une soixantaine de maires des Bouches-du-Rhône se sont élevés contre la loi SRU. Selon eux la réglementation ne tient pas compte des spécificités de leur commune.

Leurs villes sont pointées du doigt pour manque de logements sociaux. Mais d'après ces maires, ce n'est pas de leur faute. Selon France Bleu, une soixantaine d'élus de Bouches-du-Rhône en colère ont été reçus mercredi par le préfet du département, après une convocation portant sur l'obligation fixée par la loi Solidarité et renouvellement urbain (SRU).

Celle-ci oblige les communes de plus de 3500 habitants à produire chaque année 25% de logements sociaux sur la totalité des logements qu'elles construisent. Et avec 42 communes sur 222 qui sont accusées de ne pas jouer le jeu, le département des Bouches-du-Rhône est premier sur la liste, rappelle la radio.

Que dénoncent ces maires ? Une loi qui ne prend pas en compte les spécificités de chaque commune et leur territoire. Et qui leur impose, à cause du non-respect des quotas, une amende de 200.000 euros.La préfecture, elle, tente de calmer le jeu. Stéphane Bouillon, préfet des Bouches-du-Rhône, a expliqué à la radio que "le gouvernement me demande de passer avec ces maires un contrat de mixité sociale qui nous permette de prendre en compte les difficultés territoriales". Contrats qui devront être signé avant la fin du premier trimestre 2016....

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