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Leclerc condamné en appel pour sa publicité qui associait Monoprix à un pigeon

L’affaire avait fait grand bruit. À l’aune de la rentrée 2018, Leclerc avait lancé une campagne de publicité choc : en dessous du slogan “Cette année, la rentrée à Paris est moins chère”, on y voyait trois pigeons, chacun affublé du nom du service de livraison d’une enseigne concurrente… ainsi que d’un pourcentage. Ainsi, Carrefour était dépeint comme 7% plus cher que Leclerc, Monoprix arrivait en deuxième position à hauteur de 28,1% et enfin le service de livraison de Franprix était affiché comme 45,2% plus onéreux.

L’enseigne de Michel-Edouard Leclerc avait rapidement été rappelée à l’ordre. Monoprix avait en effet vu rouge en découvrant le comparatif avec un pigeon, et avait assigné l’enseigne en référé. Les magasins Leclerc avaient alors dû faire cesser la diffusion de la publicité, conformément à l’ordonnance prononcée en septembre 2018 par le Tribunal de commerce de Paris. Mais Monoprix n’avait pas dit son dernier mot, la chaîne de magasins de proximité entendant bien obtenir réparation financière... avec succès.

En septembre 2020, le Tribunal de commerce de Paris a ainsi condamné Leclerc à payer 350.000 euros de dommages et intérêts à Monoprix en réparation du préjudice subi ainsi que 150.000 euros au titre du trouble causé par le dénigrement et de l’atteinte à son image. La société Groupement d’achats des centres Leclerc (Galec), insatisfaite, a immédiatement fait appel, arguant que “la publicité diffusée (...) n’était pas dénigrante”.

Le 15 avril dernier, la Cour d’appel (...)

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