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Le pétrole pourrait rechuter à 30 dollars, turbulences en vue sur les actions

Le pétrole pourrait rechuter à 30 dollars, turbulences en vue sur les actions

Économiste à Saxobank, Christopher Dembik revient sur l’échec des négociations des pays producteurs de pétrole à Doha. Il s’attend à une nette rechute des prix de l’or noir, ce qui laisse craindre une forte volatilité des marchés d’actions ces prochains mois.

Capital.fr : Comment expliquer l’échec des négociations de Doha sur la production de pétrole ?

Christopher Dembik : Nous nous attendions à cet échec, car l’Iran, grand absent de la réunion, ne souhaite pas encore geler sa production. En outre, la plupart des pays de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep, NDLR), en particulier l’Arabie saoudite, n’étaient pas dans l’urgence d’un accord à tout prix. D’autant qu’un accord trop rapide serait revenu, pour Riyad, à cautionner des pertes de parts de marché au profit de l’Iran. Ce qui aurait été en complète contradiction avec sa politique de gain de parts de marché menée depuis deux ans. Enfin, l’accord de mi-février n’a pas été respecté par tous les pays, notamment par la Russie, ce qui nous rendait encore plus sceptiques sur les chances d’un accord dès ce 17 avril.

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Capital.fr : Quelles sont désormais les perspectives des prix du pétrole, alors que les espoirs d’un accord avaient fait rebondir les cours de près de 60% en 2 mois ?

Christopher Dembik : Ils devraient revenir dans un intervalle de 35-40 dollars sur les prochains mois, voire à 30 dollars (c’est-à-dire non loin du plancher majeur de février, à 26 dollars, NDLR) en cas de panique. D’ici l’été, les pays producteurs de pétrole auront plus de latitudes pour parvenir à un accord, car dans quelques mois, l’Iran aura hissé sa production à un niveau plus conforme à ses attentes.

Capital.fr : Faudra-t-il ensuite s’attendre à une forte remontée des prix du ...

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