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Le FMI ne sera qu'un conseiller dans le plan d'aide à la Grèce

WASHINGTON (Reuters) - Le Fonds monétaire international (FMI) ne participera pas au dernier programme d'aide accordé à la Grèce mais il acceptera vraisemblablement un statut de conseiller spécial disposant de pouvoirs limités pour garder une voix au chapitre, ont dit deux sources proches du dossier.

Cela fait plus d'un an que le FMI refuse de fixer les modalités de sa participation dans le troisième plan d'aide, de 86 milliards d'euros, accordé à la Grèce, estimant que les objectifs fixés par les créanciers européens dans le cadre de ce plan sont irréalistes sans un allègement de dette de grande ampleur.

Mais l'institution s'est progressivement résignée au refus européen d'accorder un tel allègement de dette à la Grèce et est maintenant en discussions en vue d'accepter un nouveau rôle de conseil.

"Il (le FMI) serait une sorte de conseiller mais ce rôle ne serait pas assorti d'une stricte conditionnalité, comme la conformité aux objectifs et les bilans de santé économiques tous les trois mois", a dit l'une des sources.

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Les discussions entre la Grèce, ses créanciers européens et le FMI sont dans une impasse depuis que le ministre des Finances allemand Wolfgang Schäuble a insisté sur la participation du FMI au programme d'aide tout en rejetant l'appel de Christine Lagarde portant sur une restructuration de la dette du pays.

"Maintenant, Christine Lagarde peut dire à son conseil, "regardez je ne viole pas nos règles", et Wolfgang Schäuble, dont le gouvernement doit faire face à des échéances électorales l'an prochain, peut dire : "regardez, le FMI fait partie du plan", a poursuivi la source.

Le FMI n'était pas disponible dans l'immédiat pour commenter l'information.

(Balazs Koranyi, Benoit Van Overstraeten pour le service français)