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L'avenir de la raffinerie Petroplus se joue ce mardi

Raffinerie Petroplus de Petit-Couronne

Les 470 salariés de la raffinerie Petroplus de Petit-Couronne (Seine-Maritime) attendent avec angoisse de savoir si des offres de reprise crédibles sur leur raffinerie en difficulté vont être déposées mardi 5 février, alors que Matignon a estimé lundi soir "limitées" les chances de trouver un acheteur.

"C'est un dossier difficile sur lequel l'Etat s'est beaucoup mobilisé, mais les chances de succès sont limitées. Nous avons évoqué comment serait financé un plan social dans l'hypothèse où le tribunal ne jugerait aucune offre crédible", ont indiqué à la presse les services de Matignon après une rencontre de deux heures trente entre l'intersyndicale CGT-CFDT-CFE/CGC du site et les conseillers du Premier ministre.

Selon Yvon Scornet, porte-parole de l'Intersyndicale, les candidats à la reprise ont jusqu'à 17 heures mardi pour déposer une offre auprès de l'administrateur judiciaire qui le cas échant communiquera la ou les offres au tribunal de commerce de Rouen vraisemblablement mercredi matin.

S'il y a lieu le tribunal de commerce fixera une date d'audience d'ici deux à trois semaines pour examiner les éventuelles offres, selon Yvon Scornet.

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"Pas de proposition qui émerge"

A la sortie de Matignon le syndicaliste, a indiqué que "La plus grosse discussion a été sur le fait de dire: 'demain [mardi, NDLR], ce sera peut-être une défaite', donc on va passer à autre chose". "Pour eux, il n'y a pas de proposition qui émerge", a-t-il regretté.

Toutefois, selon lui, le gouvernement a par ailleurs "annoncé qu'il discutait actuellement avec Shell", exploitant historique du site, qui avait cédé la raffinerie à Petroplus en 2007.

La piste la plus crédible aux yeux des salariés (...)

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