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La justice se penche sur "l'affaire Maryvonne", l'octogénaire squattée

La justice se penche sur "l'affaire Maryvonne", l'octogénaire squattée

Le tribunal d'instance de Rennes doit examiner ce vendredi 22 mai le cas de Maryvonne Thamin, retraitée empêchée de retrouver son logement où ont élu domicile des squatteurs.

C’est une décision très attendue. Le tribunal d'instance de Rennes est saisi de l' « Affaire Maryvonne », et doit se prononcer sur le cas très médiatisé de cette retraitée privée de domicile par des squatteurs depuis septembre 2013, selon France TV. La situation de cette octogénaire a très largement dépassé le strict cadre juridique, mobilisant la classe politique, y compris des militants d'extrême droite et d'extrême gauche.

« On essaie de nous faire passer pour des ordures »

Le député UMP Julien Aubert a ainsi par exemple déposé une proposition de loi « pour la création d’un délit d’occupation sans droit ni titre », punissable de une année d'emprisonnement et de 15.000 euros d'amende. Mais du côté des squatteurs, on déplore l'exagération de la situation et le rattrapage politique: « On essaie de nous faire passer pour des ordures », ont expliqué les occupants sans titre, assurant à la chaîne avoir trouvé la maison « abandonnée depuis longtemps » et même avoir effectué des travaux pour la rendre « vivable ». Le collectif Droit au Logement (DAL) assure lui de son côté ne pas connaître les squatteurs, « et ignor(er)cette occupation avant qu’elle ne devienne une affaire « médiatique » ».

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Signe de l'ambiance particulière qui règne en ville, les soutiens de Maryvonne Thamin ont quant à eux annoncé sur Facebook une manifestation devant le tribunal, rapporte la chaîne, qui n'observait toutefois vendredi matin « aucun attroupement visible ».
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