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La Grèce n'a pas encore conclu la privatisation de 14 aéroports

Le gouvernement grec est encore en discussion avec le groupe allemand Fraport sur un contrat de 1,2 milliard d'euros pour l'exploitation de 14 aéroports régionaux, ont déclaré les deux parties mardi, démentant des informations de presse selon lesquelles un accord avait été conclu. /Photo prise le 8 juillet 2015/REUTERS/Jean-Paul Pélissier

FRANCFORT/ATHENES (Reuters) - Le gouvernement grec est encore en discussion avec le groupe allemand Fraport sur un contrat de 1,2 milliard d'euros pour l'exploitation de 14 aéroports régionaux, ont déclaré les deux parties mardi, démentant des informations de presse selon lesquelles un accord avait été conclu.

Athènes et Fraport ont abouti l'année dernière à un accord préliminaire mais celui-ci a été remis en cause par l'arrivée au pouvoir en janvier d'Alexis Tsipras, qui avait annoncé son intention d'en revoir les modalités.

L'agence de presse allemande DPA a rapporté mardi que la Grèce avait publié une décision officielle accordant les concessions à Fraport en partenariat avec le groupe grec d'énergie Copelouzos, pour 1,2 milliard d'euros.

Mais une source gouvernementale grecque a expliqué que la décision publiée au journal officiel ne faisait que confirmer l'engagement du gouvernement à conclure un accord.

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"Cela ouvre la voie à un accord définitif au cours des semaines à venir", a ajouté cette source, qui a requis l'anonymat, précisant que plusieurs points juridiques et techniques restaient à régler.

Un porte-parole de Fraport a confirmé en disant que la décision du gouvernement constituait "le point de départ de nouvelles négociations" et qu'aucun contrat n'avait été signé.

L'accord préliminaire conclu l'an dernier par Fraport et Copelouzos avec l'agence grecque des privatisations constituait l'une des plus importantes opérations de cession au privé depuis le début de la crise de la dette grecque en 2010.

Selon cet accord, le tandem germano-grec devrait investir environ 330 millions d'euros sur quatre ans dans la modernisation des aéroports concernés, dans le cadre d'une concession de 40 ans.

(Peter Maushagen à Francfort et Lefteris Papadimas à Athènes; Marc Angrand pour le service français)