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La croissance en Italie ralentit et assombrit l'horizon

Le président du Conseil italien, Matteo Renzi. La croissance de l'économie italienne a été très faible au quatrième trimestre 2015 en raison d'une demande intérieure en berne, ce qui jette une ombre sur les perspectives pour cette année. /Photo prise le 21 janvier 2016/REUTERS/Remo Casilli

ROME (Reuters) - La croissance de l'économie italienne a été très faible au quatrième trimestre 2015 en raison d'une demande intérieure en berne, ce qui jette une ombre sur les perspectives pour cette année, montrent des données préliminaires publiées vendredi par l'institut italien de la statistique (Istat).

Le produit intérieur brut a progressé de 0,1% d'un trimestre sur l'autre (+1% sur un an) sur les trois derniers mois de l'année dernière, après +0,2% au trimestre précédent. Ces chiffres sont inférieurs aux prévisions des 29 économistes interrogés par Reuters, qui escomptaient une croissance de +0,3% d'un trimestre sur l'autre et de +1,2% sur un an.

La demande intérieure a pesé sur la croissance mais une hausse des exportations l'a soutenue, soit une inversion de la tendance observée sur les trois trimestres précédents, observe l'Istat.

L'essoufflement de l'économie italienne est un revers pour le président du Conseil, Matteo Renzi, qui avait promis à son arrivée au pouvoir il y a deux ans de lui donner un coup de fouet.

(Gavin Jones, Patrick Vignal pour le service français, édité par Wilfrid Exbrayat)