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La CFE-CGC signera l'accord de compétitivité de Renault

PARIS (Reuters) - La CFE-CGC, premier syndicat de Renault, signera début 2017 le nouvel accord de compétitivité du groupe automobile en France, a annoncé jeudi l'organisation dans un communiqué.

Sur les quatre organisations syndicales qui ont participé aux négociations, de septembre à décembre, la CGC est la deuxième à se prononcer, après FO la veille, en faveur de l'accord.

"Les équipes CFE-CGC Renault se sont prononcées favorablement pour la poursuite du processus sur le projet d'accord pluriannuel", déclare le syndicat. "Celles-ci ont souligné (...) l'équilibre trouvé dans l'ultime proposition de la direction, et ce bien que l'ensemble de leurs revendications n'aient pas été retenues."

Pour recueillir une majorité des suffrages, condition de l'entrée en vigueur de l'accord couvrant 2017-2019, le feu vert d'au moins un troisième syndicat est encore nécessaire.

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La CFDT, troisième syndicat de Renault et signataire de l'accord précédent, se prononcera le 10 janvier.

La CGT, deuxième syndicat du groupe et seule organisation à avoir rejeté en 2013 un accord jugé trop éloigné de ses revendications, donnera sa réponse le 12 janvier.

Avec ce projet, Renault compte augmenter la productivité et la flexibilité de ses usines françaises, pour faire face aux aléas de la demande, en échange d'engagements sur l'activité des sites, d'augmentations salariales et de 3.600 embauches.

Le nouvel accord doit prendre la relève d'un plan plus drastique marqué par d'importantes réductions d'effectifs, une augmentation du temps de travail et un gel des salaires la première année.

(Gilles Guillaume, édité par Dominique Rodriguez)