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L'étau se resserre autour du meublé touristique à Paris

L'étau se resserre autour du meublé touristique à Paris

Selon Le Parisien, la capitale annonce « un nouveau tour de vis » sur la location meublée touristique. La lutte contre ce phénomène, enclenchée par Bertrand Delanoë, promet d’être renforcée sous la nouvelle municipalité.

Ian Brossat, adjoint PCF au maire de Paris en charge du logement, entend freiner l’essor des locations de meublés à des touristes pour une courte durée. Les meublés touristiques, régulièrement accusés de participer à l’inflation des prix, « entretiennent (…) la spéculation immobilière car ils se louent deux, trois voire quatre fois plus cher par rapport à la location traditionnelle », explique l’élu au quotidien. Les locations illégales à Paris concernent entre 20 000 et 30 000 biens, selon les chiffres de la mairie.

Un propriétaire condamné à 25 000 € d'amende

Pas de durcissement de la réglementation actuelle en vue, mais Ian Brossat promet un renforcement des contrôles. L’an dernier, pas moins de 420 été effectués, et 44 ont été signalés au procureur. Le propriétaire de cinq meublés touristiques a été condamné à 25 000 € d’amende pour chacun d’eux, rappelle le quotidien.

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Selon la réglementation, seuls les propriétaires occupant leur résidence principale peuvent louer celle-ci pour une durée inférieure à 1 an, voire 9 mois lorsque la location est consentie à un étudiant. Les autres « doivent déposer une demande de changement d’adresse à la mairie et mettre sur le marché de la location traditionnelle un logement de surface équivalente au meublé », résume Le Parisien. Le cas échéant, ils s’exposent à une amende et une astreinte pouvant aller jusqu’à 1 000 euros par jour et par m².
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