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“L’or profitera du reflux de l’inflation, des taux et du dollar. En Bourse, les mines d’or aussi”

Andrey Rudakov/Bloomberg via Getty Images

Le 10 septembre 2022, nous rappelions aux lecteurs de cette chronique que nous maintenions notre scénario des trois pics, à savoir que nous avions atteint les pics sur les taux, l’inflation et le dollar. Et que cette configuration devait favoriser l’or et les mines d’or (les actions des sociétés minières aurifères). Depuis cette date, l’or s’est apprécié de 11% et les (actions de) mines d’or de 16%, alors que le dollar américain s’est déprécié de 7%, que les taux se sont stabilisés (mais en retrait depuis fin octobre) et que les pressions inflationnistes se sont détendues (le core PCE - indicateur favorisé par la Fed - est passé de 5,4% à 4,4% fin décembre). Cette configuration est amenée à se poursuivre.

Après une croissance économique américaine résiliente (en hausse de 2,2% au quatrième trimestre), les prévisions pour le premier trimestre 2023 s’établissent à +0,70% (selon la banque Fédérale d’Atlanta). Le coût du travail (Employment Cost Index) montre des signes de décélération (en hausse de 1% au quatrième trimestre contre une hausse de 1,3% à fin septembre). Le rythme des embauches faiblit lui aussi (le Challenger US Job Total Hiring retrouve ses niveaux de décembre 2020). Côté européen, les investisseurs ont accueilli avec soulagement les statistiques de la croissance du quatrième trimestre à +0,12%, mais c’est grâce à l’aide de l’Irlande, sans laquelle la statistique de la zone euro aurait été négative.

Concomitamment à cette tendance de fond, de nombreuses statistiques (...)

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