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L’Occident rejette de plus en plus TikTok, accusée d’espionnage

tiktok
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La Belgique est le dernier pays à prendre des mesures contre TikTok. Outre-Atlantique, un coup encore plus fort se prépare : le bannissement global de l’application d’origine chinoise.

C’est la dernière mesure prise en Occident contre TikTok, accusée d’espionnage : l’application est désormais interdite au niveau fédéral en Belgique, pour les ministres, leurs collaborateurs et le personnel de la fonction publique. « Une décision logique et nécessaire », a jugé le 10 mars 2023 Georges Gilkinet, vice-premier ministre belge, en charge de la mobilité.

Selon le journal La Libre Belgique, l’interdiction de TikTok concerne les appareils professionnels, sur la base des recommandations du centre pour la cybersécurité Belgique (CCB) et de la Sécurité d’État. Le Conseil national de sécurité en a tiré la décision de l’interdire dans l’appareil d’État. Des mesures de blocage au niveau des postes et des terminaux sont aussi évoquées.

Restrictions aux USA, au Canada, en Europe, en Inde…

Le durcissement belge s’inscrit dans un mouvement plus général de rejet auquel on assiste en Occident depuis quelques mois, au sein des instances de pouvoir. Aux États-Unis, dans la Commission européenne, au Canada et dans plusieurs pays en Europe (comme l’Estonie et la Finlande), l’application d’origine chinoise est déclarée persona non grata dans l’administration.

Ailleurs sur le Vieux Continent, la pression monte également — en Allemagne, au Danemark, aux Pays-Bas.

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