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Législatives. En Irak, les femmes ont une voix à défendre

Un quart des députés du Parlement irakien qui seront élus le 10 octobre prochain seront des femmes, qui cherchent à se faire une place dans la prise de décision. Mais elles n’échappent pas au clivage entre les partis traditionnels et le mouvement de contestation, explique Daraj.

Les prochaines élections législatives irakiennes, qui auront lieu le 10 octobre, “verront une large participation des femmes, qui espèrent une transition vers un nouvel Irak, tenant compte de leur rôle primordial dans le processus politique” du pays, écrit Daraj.

Pendant des années, la participation de la gent féminine à la vie politique irakienne a été “très faible”. Après la chute de Saddam Hussein en 2003, moins de 5 % des postes dans les ministères, les administrations publiques, au Parlement, dans les régions et les conseils municipaux étaient occupés par des femmes, rappelle le site.

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Mais le mouvement de contestation lancé en octobre 2019 contre la corruption et le chômage a changé la donne. “Les Irakiennes ont cassé de nombreuses barrières masculines” à ce moment-là en participant aux manifestations “en première ligne face aux forces de l’ordre” et en proposant leur aide “dans les bases arrière”.

Pour les élections d’octobre prochain, plus de 900 femmes ont présenté leur candidature, ce qui représente 30 % des candidats en lice. C’est certes moins que lors du dernier scrutin, en 2018, – où elles étaient plus de 2 000 – mais la nouvelle loi électorale prévoit un quota de 25 % de femmes au Parlement, au sein duquel 83 des 329 sièges leur sont réservées.

Le changement est encore loin

Néanmoins, l’espoir d’un changement par les urnes a toutes les chances d’être déçu. “La plupart des candidates sont issues des blocs politiques [traditionnels] et ne montrent pas de véritable intérêt pour les questions

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