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L'édito de ELLE : « Le retour du Fomo »

Signe de l'ampleur du phénomène ?

Le très fameux « New York Magazine » lui a tout simplement consacré sa une : c'est le retour en fanfare du Fomo, ou « fear of missing out », néologisme qui dit notre angoisse, amplifiée par les réseaux sociaux, de passer à côté d'une fête, d'un dîner ou même du tout dernier sujet de conversation en vogue. Depuis un an, la pandémie et les « stop and go » du confinement nous avaient calés dans une routine proche de la nidification, résumant notre quotidien à un trajet entre canapé et réfrigérateur, une journée par semaine de bureau et, comme luxe ultime, un dîner furtif. En l'absence de toute triangulation sociale, le Fomo avait tout bonnement disparu… Mais tout a changé. Les terrasses se déployant et le vaccin coulant dans nos veines (pour certains), nous voilà à nouveau en goguette et Instagram est redevenu ce scroll ininterrompu de soirées rooftop, piqueniques urbains, pots improvisés, réveillant parfois le sentiment désagréable de ne pas « en être ». 

Cerise sur le phéno, la persistance du télétravail avait déjà fait naître une nouvelle déclinaison : le Fomo du bureau. Plutôt bien vécu au début, le « at home office » est devenu source d'une nouvelle petite paranoïa, l'impression de rater updates utiles, infos cruciales et connexions clés. Or, les experts le disent : les informations partagées en personne sont riches de nuances et de contextes qu'on ne peut faire passer via l'écran. Le face-à-face est salvateur...

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