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Justice. Affaire Huawei : abandon des poursuites, Meng Wanzhou libérée

Près de trois ans après son arrestation au Canada à la demande des États-Unis, la numéro 2 du géant chinois des télécoms Huawei a été libérée vendredi 24 septembre, en vertu d’un accord passé avec la justice américaine. Meng Wanzhou s’est immédiatement envolée pour la Chine.

L’accord validé vendredi entre la justice américaine et Huawei est “un soulagement pour tous les acteurs de cette saga, le modeste conflit juridique originel ayant rapidement dégénéré en bataille géopolitique”, analyse The Guardian.

“Après l’arrestation de la directrice financière de Huawei à l’aéroport de Vancouver en décembre 2018, sur mandat d’arrêt américain, le Canada, la Chine et les États-Unis s’étaient rapidement retrouvés enfermés dans une affaire judiciaire qu’ils étaient tous voués à perdre – du moins en termes politiques”, poursuit le quotidien britannique.

Les États-Unis réclamaient l’extradition de Meng Wanzhou – numéro 2 de Huawei et fille du fondateur du groupe – sur la base d’accusations de “fraudes bancaires, assurant qu’elle avait menti à une institution financière pour qu’elle viole les sanctions américaines contre l’Iran”, rappelle CNBC.

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Selon les termes de l’accord négocié entre le ministère américain de la Justice et les avocats de Mme Meng, cette dernière “a consenti à reconnaître certaines ‘fautes’ en échange d’un ‘report’ puis d’un ‘abandon’ des poursuites”, précise La Presse. Si les parties respectent les termes de l’accord, les poursuites seront définitivement abandonnées le 1er décembre 2022.

Aveux

L’accord, entériné vendredi par un tribunal de New York, stipule que la dirigeante “reconnaît avoir fait de

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