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Une journaliste accusant Trump de viol dans les années 90 relance sa plainte

©JOE RAEDLE/GETTY IMAGES NORTH AMERICA/AFP

Une nouvelle loi de l’État de New York permet d’obtenir un procès civil malgré la prescription des faits.

Une journaliste américaine, Elizabeth Jean Carroll, qui accuse Donald Trump de l'avoir violée dans les années 1990, a relancé jeudi 24 novembre son action en justice civile contre l'ancien président des Etats-Unis, grâce à une nouvelle loi à New York qui protège les victimes d'agressions sexuelles.

Une double affaire judiciaire de viol et de diffamation présumés oppose depuis 2019, devant la justice fédérale civile de Manhattan, Mme Carroll, 78 ans, à M. Trump, 76 ans, lesquels ont tous deux produit en octobre leurs dépositions sous serment devant un juge new-yorkais.

Une première plainte lorsque Donald Trump était en exercice

Dans la procédure en diffamation, E. Jean Carroll, autrice et ancienne chroniqueuse du magazine « ELLE », avait attaqué Donald Trump au civil en novembre 2019. Elle l'accusait de l'avoir diffamée pour avoir qualifié de « mensonge complet », en juin 2019, ses allégations de viol dans une cabine d'essayage d'un grand magasin new-yorkais en 1995 ou 1996.

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Le président républicain alors en exercice (2017-2021) avait répondu ne l'avoir jamais rencontrée et qu'elle n'était « pas son genre de femme ». Ses avocats ont de plus toujours affirmé qu'il était protégé en 2019 par son immunité de chef d'Etat. Quant aux accusations de viol, Mme Carroll n'avait pas pu déposer plainte en bonne et due forme en 2019 puisque les faits allégués étaient prescrits.

Vers un procès au civil ?

Or ce 24 novembre est entrée en vigueur une...

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