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"Le jour de sa disparition, Delphine Jubillar était dans un état d’esprit très positif"

Me Philippe Pressecq, l’avocat des proches amies de Delphine Jubillar née Aussaguel, disparue le 16 décembre, se confie sur l’affaire et sur les derniers moments de joie de la jeune femme.

Paris Match. Quel est aujourd’hui l’état d’esprit de vos clients, un cousin et des amies, notamment après que les frères et la sœur de la disparue se soient portés partie civile de façon disjointe ?
Me Philippe Pressecq. Mes clients se sont portés partie civile par fidélité pour leur amie. Ils veulent pouvoir peser sur l’enquête et apporter d’éventuelles informations importantes. Nous sommes satisfaits que les frères et la sœur se soient enfin constitués. Nous sommes moins satisfaits par ce petit jeu d’exclusivité dans leur communiqué, qui consiste à dire qui est légitime à parler en tant que proche de Delphine et qui ne l’est pas. Mes clients sont tout aussi légitimes, par le cœur, et leurs liens affectifs avec Delphine. Ce sont eux qui la voyaient ou parlaient à la jeune femme presque tous les jours. C’est à eux qu’elle se confiait. La première chose à faire dans de telles circonstances c’est de rester unis.

Lire aussi : Où est passée Delphine Jubillar ?

Quand lui ont-ils parlé pour la dernière fois ?
C’était le jour de sa disparition. Delphine était dans un état d’esprit très positif. Elle se consacrait à la préparation des fêtes. La jeune maman venait de faire les cadeaux de Noël de ses enfants, le jour même, et en a parlé avec mes clients. Ils ont évoqué le repas de Noël et l’organisation du réveillon du Nouvel an qu’ils prévoyaient de fêter ensemble. Mes clients étaient totalement ancrés dans la vie quotidienne de Delphine.

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Delphine leur avait-elle parlé de ses difficultés dans son couple ?
Bien sûr, la séparation était malheureusement acquise. Leurs cercles d’amis en avaient pris acte. La décision avait été prise d’un commun accord et devait se concrétiser dans l’année.

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Elle venait de faire ses cadeaux de(...)


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