La bourse est fermée
  • Dow Jones

    32 952,04
    -481,31 (-1,44 %)
     
  • Nasdaq

    13 040,92
    -266,86 (-2,01 %)
     
  • Nikkei 225

    31 237,94
    -521,94 (-1,64 %)
     
  • EUR/USD

    1,0471
    -0,0010 (-0,09 %)
     
  • HANG SENG

    17 331,22
    -478,44 (-2,69 %)
     
  • Bitcoin EUR

    26 214,57
    -592,44 (-2,21 %)
     
  • CMC Crypto 200

    586,46
    -3,52 (-0,60 %)
     
  • S&P 500

    4 221,47
    -66,92 (-1,56 %)
     

J'organise une grande fête : quelles sont les règles à respecter ?

Adobe Stock

Organiser une fête nécessite une planification minutieuse pour assurer la réussite de l'événement et le respect des règles. Voici quelques conseils à suivre pour bien l'organiser.

Si vous réunissez amis, familles, collègues ou voisins pour une soirée privée, vous n’aurez, la plupart du temps, pas d’autorisation à demander que ce soit chez vous ou dans un lieu privatisé. Toutefois, dans les situations suivantes, une autorisation en mairie ou de la préfecture selon les usages locaux sera tout de même nécessaire :

- Vous réunissez plus de 250 personnes- Vous diffusez de la musique amplifiée pour danser ou faire un karaoké par exemple- Vous souhaitez dépasser les horaires de l’établissement privatisé.

Si vous occupez le domaine public (sur une place, un square ou dans la rue par exemple), vous devrez faire une déclaration en mairie, que l’évènement soit privé ou public. Vous devrez aussi veillez, à ne pas laisser de déchets derrière vous.

Bon à savoir : pour l’alcool, pas de restrictions, à condition qu’il n’y ait pas de vente.

Dans le cadre privé (mariage, anniversaire, réunion familiale, fête entre amis), vous n’avez aucune déclaration, ni aucun droit à payer à la Sacem, car votre évènement ne génère pas de profit. En revanche, pour une manifestation privée et payante (ou publique), mieux faut contacter la délégation la plus proche pour connaître les droits à acquitter.

Bon à savoir : pour une fête des voisins en musique, rapprochez-vous de l’association Immeubles en Fête qui est (...)

(...) Cliquez ici pour voir la suite