Teddy Riner : ce produit dérivé, best-seller des JO, qu'il reçoit avec sa 6e médaille olympique

Il faut bien le reconnaître, les Jeux olympiques de Paris 2024, on a eu un peu de mal à s’y intéresser avant la cérémonie d’ouverture du 26 juillet. La faute à la dissolution surprise de l’Assemblée nationale et aux élections législatives anticipées, qui ont élevé la chose politique au premier rang de nos préoccupations durant plusieurs semaines. Mais depuis la lévitation de la flamme olympique dans le ciel de Paris et une France troisième au tableau des médailles, grâce notamment au nageur prodige Léon Marchand, vous vous êtes mis en quête des places encore disponibles pour les épreuves et, à défaut, d’un souvenir des JO !

«La fréquentation du mégastore des Champs-Elysées a doublé depuis l’ouverture des JO, à 15 000 visiteurs par jour», contre une moyenne de 8 000 depuis son inauguration le 27 juin, se réjouit Paris 2024 auprès de Capital. Les organisateurs des JO ajoutent que le panier moyen dans cet espace de 1 000 mètres carrés de surface de vente «est passé de 60 euros au début des JO à 100 euros actuellement, une très belle performance».

Une performance à mettre à l’actif de quel produit dérivé principalement ? Le t-shirt blanc Paris 2024 vendu 40 euros ? La casquette siglée «France» qui vous coûtera 45 euros ? Faux ! Le champion des ventes au sein du mégastore des Champs, c’est Phryge ! Oui, la peluche mascotte des JO, qui représente un bonnet phrygien, symbole de liberté, qui sera vôtre pour 12 euros dans sa version 15 centimètres de hauteur. Vous la voulez dix fois plus (...)

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