JO 2024 : comment les athlètes boostent le business du vernis à ongles
Paris, capitale de la mode, fait-il tourner la tête des athlètes ? Depuis le début des Jeux olympiques, leurs performances impressionnantes ne sont pas les seules à captiver l’attention : leurs ongles magnifiquement manucurés sont également en vedette. Et il y en a pour tous les goûts. Le sprinteur américain Noah Lyles, qui a remporté le 100 m masculin, a fait dessiner le mot «icon» sur ses ongles courts. Plus incroyable encore, Sha’Carri Richardson, médaillée d’argent du 100 m féminin, a électrisé la toile avec ses faux ongles colorés et longs, faisant même la couverture numérique du Vogue américain avec une manucure éblouissante.
Dans un univers où les règles du Comité international olympique sont extrêmement strictes, le nail art est l'une des rares façons pour les athlètes de personnaliser leur apparence ou de faire passer des messages. «C'est le seul élément de notre tenue que nous pouvons customiser», confirme Rémi Bassereau, joueur de beach-volley français, à FranceInfo. Lili Creuk, nail artist professionnelle à disposition des athlètes sponsorisés par Puma, se confie à Capital sur son expérience et le prix de telles prestations.
«Elle m’a dit qu’elle appréciait le rouge et qu’elle aimait que ce soit chargé, mais elle m’a laissé carte blanche», se souvient Lili Creuk au sujet de l’athlète jamaïcaine Stacey Ann Williams, dont elle a verni les ongles lundi. L’artiste, plus connue sous le pseudonyme de LiliCreuk, est suivie par près de 60 000 abonnés sur Instagram. Bien qu’il (...)
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