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La plus jeune startupeuse de France raconte son expérience

Alesia Kazantceva/Unsplash

Un devoir pour les cours peut avoir des répercussions à long terme. Philippine Dolbeau en est la preuve. C'est à l'âge de 16 ans qu'elle crée son entreprise dans le cadre d'un exercice pour ses cours d'économie en classe de seconde. Rapidement, elle passe de la fiction à la réalité : interpellée par un fait divers (un collégien considéré comme absent en raison d’un appel manqué), elle imagine une application, Newschool, qui facilite la procédure de l'appel dans les établissements scolaires, en remplacement des sempiternels cahiers trimballés d’une classe à l’autre par le délégué des élèves. Une idée simple, mais innovante, qu'elle n'a pas laissé traîner, pour sa part, dans son bloc-notes.

Six ans plus tard, elle revient sur son parcours dans le podcast L'Essentiel de Management. “Avec le recul, je pense vraiment qu'entreprendre est un job à plein temps”, analyse-t-elle. Pendant les premières années, elle alterne entre sa vie de lycéenne le jour pour continuer les cours coûte que coûte, tout en développant son entreprise le soir. “Ce n'était pas très sain, j'ai dû mettre ma vie sociale et personnelle en berne pendant quelques années, je le paye un peu aujourd'hui”, estime-t-elle. Elle bénéficie ensuite du statut d'étudiant entrepreneur, ce qui a un peu facilité les choses, en lui permettant de diviser son emploi du temps à 50 % entre ses cours et son entreprise.

Pourtant, Philippine Dolbeau reste convaincue que “lorsqu'on est jeune, c'est la meilleure période de vie pour entreprendre, (...)

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