Jadot dit non à la Nupes pour les élections européennes de 2024
LES INDISCRETIONS DE LA SEMAINE - Si Yannick Jadot "croit en la Nupes" et la soutient, pas question pour autant d'envisager que les écologistes puissent se ranger derrière les Insoumis aux élections européennes de 2024. Aussi au menu des indiscrétions cette semaine: Olivier Véran, François Hollande, Jean-Luc Mélenchon, Valérie Rabault ou encore Olivier Marleix.
Jadot dit non à la Nupes 2024
Le choc de l’échec à la présidentielle a été "violent", mais pas question de larmoyer: a entrepris une vingtaine de déplacements pour soutenir ses candidats écologistes. Sans faire de bruit, sinon dans la presse locale, où l’on relève qu’il "croit en la Nupes". En tout cas pas jusqu’à imaginer la pérennité de cette alliance. Pour lui, il est hors de question que les écologistes se rangent derrière les Insoumis aux élections européennes de 2024.
Macron morigène Darmanin
"Engueuler en privé, couvrir en public". Ainsi explique-t-il pourquoi il a apporté publiquement un soutien appuyé à son ministre Gérald Darmanin après l’avoir morigéné pour le "fiasco du Stade de France".
L’Elysée préfère Castex
La meilleure façon d’être populaire pour un Premier ministre est de ne plus l’être. Selon le cabinet Elabe, Edouard Philippe est toujours largement en tête des personnalités politiques les plus populaires (47%). Et Jean Castex grimpe à la deuxième place (36%). Une popularité que suit avec un intérêt à peine dissimulé l’Elysée qui, pour l’avenir, ne veut pas être contraint de choisir entre le maire du Havre et Bruno Le Maire. "Dans quelques mois, Castex en aura assez de repeindre ses volets, il voudra faire de la politique."
Avec la politique, Olivier Véran a retrouvé la santé
A la fin de son ministère marathon de la Santé, il était un peu pâlot. Le revoilà requinqué dans le studio de LCI, l’œil vif et le propos acéré dans ses nouveaux habits de chargé des Relations avec le Parlement. Olivier Véran n’est plus que ministre délégué, mais la vie démocratique – tout un programme – a été ajoutée à son portefeuille. Il sera associé de près à la "nouvelle méthode" du président de la République.
En attendant, il est ravi de briser hardiment des lances contre Jean-Luc Mélenchon, "ce danger économique et social qui pourrait faire perdre toute crédibilité à la France": "Le combat politique me manquait et la confrontation parlementaire me plaît. Débattre du[...]
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