J’ai roulé 1 500 km avec le volant Yoke de Tesla et j’en veux un
Pendant un week-end, on a pu enchaîner les kilomètres à bord d’une Tesla Model S Plaid. L’occasion d’essayer le fameux volant Yoke, qui est désormais une option sur la berline premium.
Le volant Yoke de la Tesla Model S et du Tesla Model X a déjà tant fait parler, depuis les premières images de l’habitacle des deux véhicules (tous deux rafraîchis début 2021). Le constructeur va-t-il trop loin dans l’audace ? Pourquoi ce design, au fond ? De manière plus pragmatique : allait-il être homologué en France ? La réponse à cette question est oui, puisqu’il est bien possible de commander une Model S ou un Model X avec un volant classique ou cette version Yoke (qui a d’abord été imposée de série).
Le volant Yoke est intrigant, car il suppose une nouvelle adaptation à un dispositif qui a toujours été circulaire dans l’esprit collectif. À l’autoécole, on apprend à conduire avec un volant circulaire. Dans les concessions classiques, on ne trouve que des voitures pourvues d’un volant circulaire. Bref, le volant Yoke exige d’en finir avec des habitudes parfois ancrées depuis des décennies. Pourtant, il m’a peut-être fallu 10 minutes pour m’y accommoder, à l’occasion d’un essai de plusieurs jours d’une Model S Plaid.