Publicité
La bourse ferme dans 3 h 23 min
  • CAC 40

    8 009,45
    -13,81 (-0,17 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    4 918,78
    -17,79 (-0,36 %)
     
  • Dow Jones

    37 775,38
    +22,07 (+0,06 %)
     
  • EUR/USD

    1,0658
    +0,0011 (+0,11 %)
     
  • Gold future

    2 392,30
    -5,70 (-0,24 %)
     
  • Bitcoin EUR

    60 992,96
    +2 230,09 (+3,80 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 337,01
    +24,39 (+1,89 %)
     
  • Pétrole WTI

    82,31
    -0,42 (-0,51 %)
     
  • DAX

    17 720,26
    -117,14 (-0,66 %)
     
  • FTSE 100

    7 835,72
    -41,33 (-0,52 %)
     
  • Nasdaq

    15 601,50
    -81,87 (-0,52 %)
     
  • S&P 500

    5 011,12
    -11,09 (-0,22 %)
     
  • Nikkei 225

    37 068,35
    -1 011,35 (-2,66 %)
     
  • HANG SENG

    16 224,14
    -161,73 (-0,99 %)
     
  • GBP/USD

    1,2444
    +0,0006 (+0,05 %)
     

Iran. À Téhéran, Nazanin Zaghari-Ratcliffe libérée mais menacée d’un nouveau jugement

Condamnée pour complot à 5 ans de prison en 2016, l’humanitaire irano-britannique vient de purger sa peine. Mais elle pourrait faire face à un nouveau procès à Téhéran dès le 14 mars prochain.

À l’issue d’une peine de cinq ans de prison, Nazanin Zaghari-Ratcliffe a été libérée de son assignation à résidence en Iran, a fait savoir son avocat iranien ce dimanche 7 mars. Mais la ressortissante irano-britannique devra à nouveau se présenter devant un tribunal iranien le 14 mars pour faire face à une deuxième série d’accusations, rapporte The Telegraph.

Selon le quotidien britannique, Zaghari-Ratcliffe devra notamment se défendre d’avoir participé à “des activités de propagande contre la République islamique” en assistant à une manifestation devant l’ambassade iranienne à Londres en 2009 et en parlant en persan à la BBC.

À lire aussi: La prisonnière Nazanin Zaghari-Ratcliffe, un “pion” sur l’échiquier irano-britannique

PUBLICITÉ

La travailleuse humanitaire s’est vue retirer le bracelet électronique qu’elle portait à la cheville depuis son assignation à résidence en mars 2020. Son avocat a expliqué qu’il ne savait pas “si elle était autorisée à quitter l’Iran”, indique The Telegraph.

D’après son mari, Richard Ratcliffe, les Iraniens ont cherché à “clore la première affaire” pour “éviter des démarches officielles du Royaume-Uni”, mais elle reste sous la menace d’une nouvelle condamnation :

Elle reste un moyen de pression pour eux.”

“Une épreuve cruelle et intolérable”

“L’Iran continue à faire subir à Nazanin Zaghari-Ratcliffe, ainsi qu’à sa famille, une épreuve cruelle

[...] Lire la suite sur Courrier international

À lire aussi :