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Des internautes appellent à boycotter Uber en France après la suppression de témoignages d'agressions sexuelles par des chauffeurs

Une voiture Uber à New York en août 2018. John Taggart/Bloomberg via Getty Images

Ça ne pouvait pas tomber plus mal pour Uber en France. A deux jours d'une marche de lutte contre les violences faites aux femmes organisée par le collectif #Noustoutes dans toute la France, la plateforme fait face à une crise majeure sur les réseaux sociaux. Elle accusée par plusieurs internautes d'avoir supprimé des témoignages de femmes victimes d'agressions sexuelles par des chauffeurs utilisant l'application Uber. Sur Instagram, un compte peut en effet supprimer les commentaires publiés sous ses propres posts. Ce mouvement a donné naissance à un hashtag appelant au boycott de l'application en France : #Ubercestover.  À en croire plusieurs captures d'écrans, des messages relatant des agressions sexuelles et des viols de la part de chauffeurs ont été effacés mercredi 20 novembre 2019 par l'équipe de community mangers d'Uber en France.

Ces réactions sur les réseaux sociaux sont intervenues après les plaintes de deux étudiantes à Strasbourg, assurant avoir été victimes du même chauffeur Uber. Contactée par Business Insider France, une porte-parole de l'entreprise américaine affirme que l'entreprise "n'étouffe pas l'affaire" mais reconnaît "un manque de discernement". "Nous avons des équipes engagées sur la question. Nous sommes du côté des victimes. On répond à tous les messages pour recueillir des informations, comprendre ce qui s'est passé et collaborer avec la police en cas de plainte."

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Dans un premier temps, Uber France nous avait dit que l'entreprise allait créer une adresse mail dédiée pour que toutes les femmes victimes d'agression sexuelle puissent faire remonter leur histoire, quelque soit la période concernée. Finalement, Uber a mis en place ce vendredi 22 novembre 2019 la possibilité de le faire directement dans l'application comme l'entreprise l'explique…

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