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« Inquisition » : des victimes de violences sexuelles répondent à Emmanuel Macron

Dans une tribune publiée par « Le Monde », un collectif de femmes ayant pris la parole sur des violences sexuelles de la part de Patrick Poivre d’Arvor et de Nicolas Hulot dénonce les propos du président de la République.

« Vous en rajoutez une couche, vous nous dites que nous sommes dangereuses. » Dans une tribune publiée dans « Le Monde », mercredi 8 décembre, quatorze femmes s’étant déclarées publiquement victimes de violences sexuelles de la part de PPDA et de Nicolas Hulot répondent à Emmanuel Macron. Le chef de l’État, lors d’un Conseil des ministres s’étant tenu après la diffusion de l’enquête d’Envoyé Spécial mettant en cause son ancien ministre de l’Écologie, a salué la libération de la parole, mais a mis en garde contre « une société de l’inquisition ». Des propos largement dénoncés par les féministes sur les réseaux sociaux et dans certains médias.

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« Menteuses selon [les] agresseurs », « menace pour le pays » selon le Président de la République

« Quel est le rapport entre nos récits et l’Inquisition ? » interroge la tribune. « De nos intimités exposées naîtrait le risque de replonger la France dans une des périodes les plus sombres et les plus unanimement détestées de l’histoire occidentale ? [...] Vous nous mettez du côté des inquisiteurs, figures honnies de la mémoire collective, représentants des pires atrocités du passé. Nos récits porteraient en germe ces tribunaux de l’horreur et de l’injustice. Raconter nos histoires tristes serait nuisible au point qu’il vous faut affirmer votre volonté d’éviter ce très grave danger. »

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VIDÉO - Déclic - Marie Albert : "J’étais journaliste, malheureuse et dépressive. Je subissais des violences sexuelles et sexistes. Et puis j’ai eu un déclic"

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