La bourse ferme dans 1 h 27 min
  • CAC 40

    7 108,24
    -76,58 (-1,07 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    4 157,37
    -49,79 (-1,18 %)
     
  • Dow Jones

    33 918,06
    -45,78 (-0,13 %)
     
  • EUR/USD

    1,0604
    -0,0043 (-0,40 %)
     
  • Gold future

    1 943,60
    -2,00 (-0,10 %)
     
  • Bitcoin EUR

    24 675,19
    -413,05 (-1,65 %)
     
  • CMC Crypto 200

    559,52
    +0,01 (+0,00 %)
     
  • Pétrole WTI

    89,79
    -0,24 (-0,27 %)
     
  • DAX

    15 362,40
    -194,89 (-1,25 %)
     
  • FTSE 100

    7 592,93
    -90,98 (-1,18 %)
     
  • Nasdaq

    13 225,57
    +13,76 (+0,10 %)
     
  • S&P 500

    4 322,32
    +2,26 (+0,05 %)
     
  • Nikkei 225

    32 678,62
    +276,21 (+0,85 %)
     
  • HANG SENG

    17 729,29
    -328,16 (-1,82 %)
     
  • GBP/USD

    1,2216
    -0,0024 (-0,20 %)
     

Des influenceurs accusés “d’offrir des photos” de leurs enfants à des pédophiles” pour de “l’argent”

C’est une polémique qui grandit de jour en jour. Poupette Kenza, Benjamin Samat, JLC Family… autant de noms cités par nos confrères du Parisien dans un dossier consacré à la sur-exposition de ces enfants de stars. En effet, régulièrement, les influenceurs partagent des photos de leur progéniture, qui apparaît nu ou dévêtu. Des clichés qui finiraient sur le darkweb ou dans des groupes de discussion entre pédophiles, ou bien sur des plateformes pédocriminelles. Nos confrères citent l’exemple de Chelsea, 5 ans, l’adorable fille de Jazz et Laurent. La fillette dispose de son propre compte Instagram et ce, depuis sa naissance. Des photos qui seraient remarquées par des hommes d'âge mur. “Dans les commentaires, quelques hommes envoient des points d’exclamation, des émojis enthousiastes, des compliments”, a noté Le Parisien.

“Tant que ça rapporte de l’argent…”

Un constat qui n’a pas échappé au fondateur de l’association Team Eunomie qui regrette : “Ils offrent sur un plateau ces photos à des pédophiles”, lâche celui dont la principale occupation est de piéger les pédophiles en créant des faux profils de mineurs. “J’ose espérer que ces influenceurs sont de bonne foie dans leur erreur. Et qu’ils ne se disent pas : peu importe, tant que ça rapporte de l’argent…”, ajoute-t-il. Parmi les autres influenceurs cités, on retrouve Poupette Kenza - dont les drames...

Lire la suite