Publicité
La bourse ferme dans 3 h 29 min
  • CAC 40

    8 015,30
    -76,56 (-0,95 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    4 951,28
    -38,60 (-0,77 %)
     
  • Dow Jones

    38 460,92
    -42,77 (-0,11 %)
     
  • EUR/USD

    1,0722
    +0,0021 (+0,19 %)
     
  • Gold future

    2 341,70
    +3,30 (+0,14 %)
     
  • Bitcoin EUR

    59 574,26
    -2 540,82 (-4,09 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 358,67
    -23,90 (-1,73 %)
     
  • Pétrole WTI

    82,99
    +0,18 (+0,22 %)
     
  • DAX

    17 971,09
    -117,61 (-0,65 %)
     
  • FTSE 100

    8 095,22
    +54,84 (+0,68 %)
     
  • Nasdaq

    15 712,75
    +16,11 (+0,10 %)
     
  • S&P 500

    5 071,63
    +1,08 (+0,02 %)
     
  • Nikkei 225

    37 628,48
    -831,60 (-2,16 %)
     
  • HANG SENG

    17 284,54
    +83,27 (+0,48 %)
     
  • GBP/USD

    1,2512
    +0,0049 (+0,40 %)
     

Inflation : pas de « profiteurs » dans le secteur alimentaire

Bruno Le Maire, ministre de l'Économie.   - Credit:ARTHUR NICHOLAS ORCHARD / Hans Lucas / Hans Lucas via AFP
Bruno Le Maire, ministre de l'Économie. - Credit:ARTHUR NICHOLAS ORCHARD / Hans Lucas / Hans Lucas via AFP

« Il n'y a pas eu de profiteurs de l'inflation dans l'alimentaire », a affirmé samedi le ministre de l'Économie, Bruno Le Maire, dans une interview au journal Le Parisien qui semble confirmer les conclusions de plusieurs rapports parlementaires. Dans un contexte où le taux d'inflation des produits alimentaires s'est approché des 12 % sur un an en octobre, selon l'Insee, « j'ai demandé à l'Inspection générale des finances de faire une étude », a déclaré au quotidien le numéro deux du gouvernement.

« La conclusion est sans appel : il n'y a pas eu de profiteurs de l'inflation dans l'alimentaire. Ni les agriculteurs, ni les distributeurs, ni l'industrie agroalimentaire n'ont pris au passage de rémunération excessive », a-t-il ajouté.

Plusieurs rapports

Fin juin, le président du comité stratégique des magasins E.Leclerc, Michel-Édouard Leclerc, avait déploré que « la moitié des hausses demandées » par les industriels dans le cadre de renégociations sur le prix des denrées destinées à être vendues par les grandes surfaces n'étaient « pas transparentes » et étaient « suspectes ». Un rapport sénatorial publié le 19 juillet avait toutefois conclu qu'à l'exception de quelques « cas particuliers » il n'était pas observé de « phénomène généralisé de hausses abusives ».

PUBLICITÉ

À LIRE AUSSI L'inflation, une chance pour la France, vraiment ?

Quelques jours plus tard, un rapport des députés Aurélie Trouvé (La France insoumise) et Xavier Albertini (Horizons) n'avait pas davantage perm [...] Lire la suite