Publicité
La bourse est fermée
  • CAC 40

    8 205,81
    +1,00 (+0,01 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    5 083,42
    +1,68 (+0,03 %)
     
  • Dow Jones

    39 807,37
    +47,29 (+0,12 %)
     
  • EUR/USD

    1,0790
    -0,0003 (-0,03 %)
     
  • Gold future

    2 254,80
    +16,40 (+0,73 %)
     
  • Bitcoin EUR

    65 536,45
    +878,45 (+1,36 %)
     
  • CMC Crypto 200

    885,54
    0,00 (0,00 %)
     
  • Pétrole WTI

    83,11
    -0,06 (-0,07 %)
     
  • DAX

    18 492,49
    +15,40 (+0,08 %)
     
  • FTSE 100

    7 952,62
    +20,64 (+0,26 %)
     
  • Nasdaq

    16 379,46
    -20,06 (-0,12 %)
     
  • S&P 500

    5 254,35
    +5,86 (+0,11 %)
     
  • Nikkei 225

    40 410,63
    +242,56 (+0,60 %)
     
  • HANG SENG

    16 541,42
    +148,58 (+0,91 %)
     
  • GBP/USD

    1,2621
    -0,0001 (-0,01 %)
     

Inflation : le gouvernement va "maintenir un système de bouclier en 2023", affirme Gabriel Attal

Wikipédia

Invité de France Inter ce samedi 3 septembre, le ministre de l'Action et des Comptes publics, Gabriel Attal, a déclaré que le gouvernement allait "maintenir un système de bouclier en 2023". "Nous allons continuer à protéger les Français et leur pouvoir d'achat", a-t-il lancé. "Les mesures qu'on a prises cette année ont limité l'inflation". Et de poursuivre en affirmant que si "le gouvernement n'avait pas pris ces mesures, on aurait trois points d'inflation en plus".

"En 2023, si on ne faisait rien, la facture d'électricité augmenterait en moyenne de 100 %. Cela fait 120 euros pour la facture moyenne des Français par mois. Nous bloquerons, là aussi, à un certain niveau d'augmentation", a assuré Gabriel Attal. Ce dernier s'est refusé à en dire davantage sur la question, précisant néanmoins que "les arbitrages sont en cours" et "doivent être rendus dans les prochains jours".

Au cours de l’entretien, le ministre a affirmé qu'"il n'est pas incompatible" de pouvoir "protéger" le porte-monnaie des Français tout en préservant les finances publiques. Néanmoins, il tient à mettre en garde les contribuables contre tout excès : "Dépenser sans compter, à la fin, c'est taxer pour rembourser et ça, on veut l'éviter aux Français, donc on est passé du 'quoiqu'il en coûte' au 'combien ça coûte'. On est obligés de faire des arbitrages et de prendre des décisions qui, quand elles sont coûteuses pour les finances publiques, doivent être le plus efficace possible, ce qui ne veut pas dire qu'il ne peut (...)

(...) Cliquez ici pour voir la suite

Retour des crédits à taux variable, crise de la dette publique, mauvaise image de la finance... Le flash éco du jour
Une fillette nommée Alexa forcée de changer de nom à cause de l'enceinte Amazon
Sécheresse : un maire prend un arrêté insolite pour ordonner à la pluie de tomber
La limite de vitesse était mal signalée, 250 contraventions annulées
Amiens : le crématorium fermé depuis un an en attente de la livraison d’une pièce mécanique