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Infections sexuellement transmissibles : la baisse des dépistages inquiète les experts

Depuis le premier confinement, le taux de dépistage des maladies sexuellement transmissibles (IST) a diminué de 30% et pourrait avoir des conséquences sur la hausse des cas.

Les Français se font moins dépister depuis le début de la pandémie, d’après une étude de Santé Publique France. En 2020, le nombre de dépistages de maladies sexuellement transmissibles a diminué de 30% par rapport à 2019. Entre février et avril 2020, ils avaient baissé drastiquement (-58%) avant de remonter en juin 2020 (+12%). Mais ce volume n’a pas été compensé les mois suivants, puisqu’il a rechuté en juillet (-6%). Interrogée par « Le Monde », la docteure Florence Lot explique que cette baisse est liée à la fermeture des centres de dépistage pendant le confinement de 2020. Elle aura une conséquence sur la circulation des maladies bactériennes, comme la chlamydia ou encore la gonorrhée : « Qui dit dépistage tardif dit diagnostic tardif, et une plus grande circulation de ces infections, avec un effet boule de neige », déclare la spécialiste au quotidien.

Lire aussi >> Chemsex : « On est au début d’un fléau qui rappelle l’épidémie du VIH »

Les IST encore mal connues

« Les infections à chlamydia ou à gonocoque sont en progression depuis les années 2000 », précise Florence Lot au « Monde ». Entre 2017 et 2019, elles ont connu une hausse de 29% pour la chlamydia et 21% pour les gonocoques, montre le dernier bulletin SpF. Alors pourquoi le sujet reste-t-il si tabou et le dépistage si peu automatique ? Catherine Fohet, médecin, trésorière de la Fédération nationale des collèges de gynécologie médicale, estime que

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