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Indemnité inflation : les trois effets pervers de la prime de 100 euros

Une mauvaise surprise
Une mauvaise surprise

C'est la réponse du gouvernement à la perte de pouvoir d'achat des ménages face à la flambée des prix de l'énergie (carburant, gaz et électricité) : une prime unique de 100 euros destinée à 38 millions de Français gagnant moins de 2 000 euros net par mois, et versée à compter de décembre. Une « Indemnité inflation » qui n'est pas exempt de défauts. En voici au moins trois :

« Une usine à gaz »

Du côté du patronat, on s'étouffe. En effet, cette prime sera payée directement par les employeurs à leurs salariés via la fiche de paie de décembre avant que l'Etat ne les rembourse avec une exonération correspondante de cotisations sociales. « Encore une fois, on invente une usine à gaz en transférant aux entreprises, le soin de l'organiser », lâche Hubert Mongon de l'Union des industries de la métallurgie interrogé par le Journal du dimanche. Une situation qui suppose pour les entreprises de disposer d'un peu de trésorerie d'avance pour verser la prime aux salariés touchant moins de 2 000 euros. Mais ce n'est pas tout, les logiciels de paie devront être modifiés pour un coût pouvant attendre 5 000 euros d'après le JDD.

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