Publicité
La bourse ferme dans 2 h 6 min
  • CAC 40

    7 318,45
    +7,68 (+0,11 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    4 399,44
    +16,97 (+0,39 %)
     
  • Dow Jones

    35 950,89
    +520,47 (+1,47 %)
     
  • EUR/USD

    1,0870
    -0,0024 (-0,22 %)
     
  • Gold future

    2 055,40
    -1,80 (-0,09 %)
     
  • Bitcoin EUR

    35 246,34
    +532,87 (+1,54 %)
     
  • CMC Crypto 200

    792,43
    +8,78 (+1,12 %)
     
  • Pétrole WTI

    75,80
    -0,16 (-0,21 %)
     
  • DAX

    16 298,64
    +83,21 (+0,51 %)
     
  • FTSE 100

    7 484,20
    +30,45 (+0,41 %)
     
  • Nasdaq

    14 226,22
    -32,27 (-0,23 %)
     
  • S&P 500

    4 567,80
    +17,22 (+0,38 %)
     
  • Nikkei 225

    33 431,51
    -55,38 (-0,17 %)
     
  • HANG SENG

    16 830,30
    -212,58 (-1,25 %)
     
  • GBP/USD

    1,2627
    -0,0001 (-0,01 %)
     

Incidents OM-OL: comment les joueurs lyonnais ont réagi dans le vestiaire, en se montrant solidaires avec Grosso

Le choc, voire un certain traumatisme. Voilà ce qui règnait dans le vestiaire de l'OL ce dimanche soir, après les graves incidents et le caillassage de bus dont ont été victimes les joueurs et le staff lyonnais en rejoignant le Vélodrome pour OM-OL en Ligue 1. Deux vitres du véhicule ont été brisées par des projectiles, Fabio Grosso et son adjoint ont été blessés. Le match a finalement été annulé.

D'après des échos du vestiaire de l'OL, dans un premier temps, John Textor et quelques joueurs lyonnais ont laissé filtré l’idée qu’ils étaient prêts à jouer, malgré le caillassage de leur bus. Mais dès que le patron de l’OL a pu s’entretenir au calme avec Fabio Grosso, il a réalisé à quel point celui-ci était marqué, qu'il avait subi de multiples traumatismes et qu'il n’était pas en état de coacher.

Le match était classé à hauts risques

A ce moment-là, le vestiaire de l'OL était unanime, comme expliqué très tôt dans la soirée par RMC Sport: solidarité avec l’entraîneur et son adjoint, impossible de jouer dans ces conditions.

Le match était classé 4 sur 5 par les services de la Division nationale de lutte contre le hooliganisme, c'est à dire à hauts risques. Il y avait eu une vraie concertation autour de la Préfète de Police de Marseille concernant les questions de déplacements de supporters.

Article original publié sur RMC Sport