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Impôts : les boursicoteurs remplissent les caisses de l'Etat avec la crise

Plan d'épargne en actions : un (petit) changement sur le plafonnement des frais
Panneau de la place de la Bourse à Paris

Au début du printemps, les investisseurs ont profité de la chute des indices boursiers causée par l’épidémie de coronavirus pour miser en bourse ou modifier leur portefeuille. Résultat : la quantité d'ordres passés a bondi.

L’Autorité des marchés financiers, dans une étude sortie fin avril, en donnait une première illustration. Selon l'AMF, en l’espace de 6 semaines, 580 000 clients particuliers avaient acheté des actions de l’indice français SBF120. Parmi ceux-ci, 150 000 n’avaient rien acheté en direct en 2018 et 2019.

Pour les finances publiques, c’est une bonne nouvelle. En effet, l’Etat prélève une taxe sur les actions des sociétés françaises valorisées plus d’un milliard d’euros en bourse. Cette taxe sur les transactions financières s’élève à 0,3% de la valeur d’achat. Selon Les Echos, qui cite le ministère de l’Économie, cette taxe a déjà rapporté 1,2 milliard d’euros à fin août, soit plus que ce qui était prévu dans la loi de Finances pour l’ensemble de l’année 2020.

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