Impôt : tout savoir sur «l’exit tax» dans le programme de Lucie Castets
Le Nouveau Front populaire (NFP) a déjà prévenu après les consultations d’Emmanuel Macron : il ne retournera à l’Élysée que pour discuter d’une «cohabitation» et d’un gouvernement mené par Lucie Castets. De l’autre côté de l’échiquier, le Rassemblement national et certaines personnalités de droite - et de la majorité sortante - ont d’ores et déjà prévenu qu’ils voteraient une motion de censure contre un gouvernement de gauche. Mais le NFP entend occuper le terrain, sa candidate en tête, et multiplie les annonces. Après avoir assuré que le NFP appliquerait le SMIC à 1 600 euros une fois arrivé au pouvoir, Lucie Castets a évoqué une autre piste.
Dans un entretien accordé à Libération, Lucie Castets a insisté sur le retour de «l’exit tax». Le retour, car cette taxe existe depuis 2011. Instaurée par Nicolas Sarkozy, elle concerne certains contribuables qui transfèrent leur domicile fiscal hors de France. Son objectif initial était de restreindre les délocalisations des Français à l’étranger. «Je propose de rétablir l'exit tax telle qu'elle existait avant d'être très affaiblie par Emmanuel Macron», a-t-elle lancé dans Libération.
Sous Nicolas Sarkozy, certains contribuables étaient en effet taxés jusqu’à 30% lorsqu’ils réalisaient des plus-values théoriques à l’étranger. La taxe concernait toutes les personnes possédant au moins 1% du capital d’une entreprise ou qui avaient un patrimoine immobilier supérieur à 1,3 million d’euros, rappelle RTL. Ils devaient aussi céder leurs parts dans (...)
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