Publicité
La bourse est fermée
  • CAC 40

    8 205,81
    +1,00 (+0,01 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    5 083,42
    +1,68 (+0,03 %)
     
  • Dow Jones

    39 807,37
    +47,29 (+0,12 %)
     
  • EUR/USD

    1,0791
    -0,0002 (-0,02 %)
     
  • Gold future

    2 254,80
    +16,40 (+0,73 %)
     
  • Bitcoin EUR

    65 080,73
    -396,75 (-0,61 %)
     
  • CMC Crypto 200

    885,54
    0,00 (0,00 %)
     
  • Pétrole WTI

    83,11
    -0,06 (-0,07 %)
     
  • DAX

    18 492,49
    +15,40 (+0,08 %)
     
  • FTSE 100

    7 952,62
    +20,64 (+0,26 %)
     
  • Nasdaq

    16 379,46
    -20,06 (-0,12 %)
     
  • S&P 500

    5 254,35
    +5,86 (+0,11 %)
     
  • Nikkei 225

    40 369,44
    +201,37 (+0,50 %)
     
  • HANG SENG

    16 541,42
    +148,58 (+0,91 %)
     
  • GBP/USD

    1,2616
    -0,0006 (-0,05 %)
     

Impôts : faut-il encaisser ou placer votre prime d'épargne salariale ?

Une femme et une tirelire
Une femme et une tirelire

Le printemps 2021 n'était pas celui de l'épargne salariale. La faute à la pandémie de Covid-19. Les primes d'intéressement ont l'an passé baissé de 8% par rapport à 2020, et la participation aux bénéfices s'est elle érodée de 9%, selon le bilan chiffré de l'AFG (1), qui rassemble les gestionnaires d'épargne salariale. Des primes rabotées pour cause de résultats financiers en berne en 2020, l'année des premiers confinements. Mais le tableau est finalement loin d'être si noir : les prévisions étaient bien plus pessimistes et les épargnants salariés ont compensé par des versements volontaires, abondés par leur employeur. Résultat : les plans d'épargne salariale ont progressé malgré la crise en 2021, et l'épargne accumulée bat tout de même un nouveau record, à plus de 167 milliards d'euros.

Intéressement et participation : des primes 2022 attendues en nette hausse

Ce printemps 2022 sera-t-il un meilleur cru pour l'intéressement et la participation ? Sollicitée par MoneyVox, l'AFG ne dispose pas à ce stade de suffisamment de chiffres sur les versements 2022, qui ont débuté et s'étaleront « pour la majorité des flux » jusqu'à la fin mai. Les pronostics sont très optimistes : les résultats financiers des entreprises françaises (et en premier lieu du CAC 40) sont au plus haut. Les accords d'intéressement et de participation devraient donc s'activer en masse.

PUBLICITÉ

Lire la suite sur MoneyVox

Voir également
- Crédit conso : pourquoi les taux ne baissent pas comme d'habitude au printemps
- Bourse : comment déclarer aux impôts vos plus-values et vos pertes
- Impôt sur le revenu : pourquoi Marseille déclare toujours avant Paris