Immobilier : vivre au bord de l'eau, ça peut coûter (très) cher
Habiter à proximité de l’eau, une perspective qui attire de nombreux particuliers. D'autant plus après le confinement qui a incité de nombreux ménages à faire évoluer leur projet de vie ou à trouver une résidence secondaire proche du littoral. Une perspective qui était déjà bien présente avant l'épidémie de coronavirus puisque selon un sondage publié en 2019 (1), 36% des personnes interrogées indiquaient déjà préférer vivre au bord de la mer contre 34% à la campagne, 23% à la ville et 7% à la montagne.
On s’en doute, vivre au bord de l’eau (que ce soit près de la mer, d’un lac ou d’un fleuve) n’est pas toujours un plaisir bon marché. Ce n’est pas une raison pour y renoncer, mais il faut bien avoir en tête différents paramètres.
Vivre au bord de la mer
Avec ses 20 000 km de côtes, dont 14 500 Outre-mer, la France a l’espace maritime le plus grand au monde derrière les Etats-Unis. La métropole compte 885 communes littorales qui néchappent non plus à la hausse des prix de l'immobilier. Une étude réalisée par Meilleurs Agents à la mi-juillet révèle que c’est en Bretagne où les prix du m² ont grimplé le plus vite ces derniers mois : +6,3% en 1 an, même si la moyenne y restent la plus faible de tout l’Hexagone pour le bord de mer à 2 577 euros du m². Les 3 villes les plus chères, situées dans le Morbihan, sont La Trinité-sur-mer (4 343 euros du m²), Carnac (3 973 euros) et Larmor-Baden (3 946 euros).
Voir également
- EXCLUSIF. Impôt sur le revenu : ce que le gouvernement veut encore changer
- Coronavirus : quelle indemnité pour garder votre enfant si sa classe ferme ?
- Crédit immobilier : 1% ou moins sur 20 ans, c'est terminé !