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Immobilier : les villes où les prix des appartements neufs flambent le plus

Tom / Pixabay

La crise s’intensifie pour l’immobilier neuf. D’après la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI), 300.000 emplois seraient ainsi menacés d’ici 2025. Les raisons de cette crise ? Tout d’abord, la dégringolade des ventes de logements qui se poursuit : seulement 16.917 logements ont été réservés par des particuliers au 2e trimestre 2023, contre près de 27.000 un an plus tôt, et un peu plus de 30.000 au 2e trimestre 2021 ! Des ventes qui reculent principalement en raison des prix souvent élevés de ces logements, mais surtout des difficultés accrues d’accès au crédit rencontrées par les ménages depuis maintenant de nombreux mois.Autre explication, les difficultés rencontrées par les promoteurs pour réussir à lancer de nouveaux chantiers. Entre les deuxièmes trimestres 2022 et 2023, les autorisations administratives de nouveaux logements collectifs ont ainsi chuté de 27,3% (49.900 unités autorisées entre avril et juin 2023). Et les mises en vente de nouveaux logements, sur la même période, ont elles aussi chuté, de 33.140 à 20.570 unités. “L’offre et la demande sont en chute libre. [...] Ne trouvant plus d’acquéreurs, de plus en plus de promoteurs abandonnent des opérations”, décrypte ainsi la FPI. La fédération ne voit d’ailleurs pas de perspectives d’amélioration durables, malgré le soutien promis par le gouvernement au secteur, et notamment le rachat de 47.000 logements invendus par des bailleurs institutionnels. “Face à l’urgence de la situation, les investisseurs institutionnels (...)

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