Publicité
Marchés français ouverture 2 h 11 min
  • Dow Jones

    38 460,92
    -42,77 (-0,11 %)
     
  • Nasdaq

    15 712,75
    +16,11 (+0,10 %)
     
  • Nikkei 225

    37 690,63
    -769,45 (-2,00 %)
     
  • EUR/USD

    1,0712
    +0,0011 (+0,11 %)
     
  • HANG SENG

    17 295,93
    +94,66 (+0,55 %)
     
  • Bitcoin EUR

    60 049,91
    -2 411,47 (-3,86 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 388,57
    -35,53 (-2,50 %)
     
  • S&P 500

    5 071,63
    +1,08 (+0,02 %)
     

Immobilier de luxe : les acquéreurs croient à la baisse des prix

La crise du coronavirus incite deux personnes interrogées sur trois à penser que les prix de l'immobilier de prestige vont baisser dans les six prochains mois. Les deux tiers d'entre elles s'attendent même à une baisse d'au moins 10%. C'est ce qui ressort du baromètre annuel Belles Demeures, marque du groupe SeLoger, réalisé entre le 11 et le 29 juin, avec Opinion Way, auprès de 316 futurs acquéreurs d'un bien de luxe en France. "On parle de propriétés remarquablement bien situées, ayant par exemple une vue exceptionnelle, un charme particulier ou une architecture et des aménagements de haute qualité", expose Nathalie Garcin, présidente du réseau d'agences Émile Garcin. Des biens dont les prix oscillent en général "entre 600.000 et plusieurs millions d'euros", poursuit Thibault de Saint-Vincent, président de Barnes, un des leaders de l'immobilier haut de gamme.

Au sein du panel interrogé, 61% considèrent que leur situation financière restera stable. Pour autant, ils sont 75% à anticiper une dégradation de l'économie française entraînant une chute des tarifs de l'immobilier de luxe. C'est pourquoi 69% trouvent les prix actuels irréalistes, et que seuls 40% des acquéreurs estiment que c'est le moment d'investir, contre 59% l'an passé.

La province et ses maisons attirent

En dépit de ces perceptions négatives, ce marché reste pour 44% de la clientèle un placement aussi sûr qu'avant la crise, et 15% des investisseurs vont même jusqu'à dire qu'il l'est plus qu'avant. De fait, pas p...


Lire la suite sur LeJDD