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Immobilier : faut-il parier sur une baisse des prix avant d'acheter ?

Taux immobiliers : jamais le crédit n'a été aussi bon marché
Baisse des prix de l'immobilier

Au début du confinement, les notaires tablaient sur une chute des prix de 10 à 15% sur le marché immobilier. Qu’en pensez-vous ?

Pierre Madec : « C’est un exercice compliqué d’anticiper comment les prix vont évoluer. De multiples facteurs entrent en ligne de compte. Du côté de la demande, les deux mois de confinement ont entraîné des phénomènes contradictoires. D’abord un choc de revenu négatif : nous avons calculé à l’Ofce que sur les 8 semaines de confinement, les ménages ont accusé une baisse de 11 milliards d’euros de leur revenu. Par exemple, les salariés placés en chômage partiel ont perdu, en moyenne, 410 euros sur la période.

Mais nous sommes dans une situation exceptionnelle. Et ce choc de demande négatif va de pair avec un choc de demande très positif. Les ménages ont dans le même temps accumulé 55 milliards d’euros d’épargne forcée dans la mesure où les possibilités de consommer étaient très limitées. Tout l’enjeu, sur cette partie de la demande, est de savoir quel choc va l’emporter. Si les ménages choisissent de placer cette épargne dans l’immobilier, cela va entraîner un choc positif avec à l’arrivée une hausse des prix. Bien sûr, cette augmentation ne serait pas uniforme et serait différente selon les territoires et le type de logement. »

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