Immobilier : ces étrangers rêvaient de vivre à Paris, ils déchantent à cause des toits

Paris fait rêver à plus d’un titre. Nombreux sont ceux qui espèrent y habiter. Chez les étrangers notamment, l’idée de vivre dans la ville de l’amour et de ses immeubles typiques haussmanniens est plus que présente. Mais certains qui ont sauté le pas déchantent. L’été, la chaleur qui enveloppe la capitale surprend certains non-initiés. Le charme des vieux immeubles se transforme alors en véritable cauchemar pour certains. Au dernier étage, sous les toits, c’est une véritable fournaise, rapporte BFMTV, le 10 août 2024. Contacté par la chaîne d’information en continu, Franck Lirzin, auteur du livre Paris face au changement climatique, explique que «le bâti haussmannien a une fragilité : ses toitures en tuiles de zinc qui ont été imaginées dans les années 1850».

Si le zinc avait été choisi à l’époque, c’est parce que c’était un matériau qui, en plus d’être léger et malléable, était surtout économique. Franck Lirzin indique que cette option permettait «d'imiter les toitures en plomb des immeubles de standing de la capitale», sans se ruiner. Le hic, c’est que le zinc est propice à faire monter la température. Nicolas Procino, gérant de l'entreprise Artizinc, connaît bien cette problématique. Il intervient régulièrement pour rénover les toits parisiens. Interrogé par BFMTV, il assure que ce matériau métallique «peut monter jusqu'à 50-60°C».

Rencontrée par la chaîne d’information, Elea confirme. Cette Kazakhstanaise rêvait d’emménager à Paris. En arrivant dans la capitale française, elle (...)

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