Publicité
La bourse ferme dans 6 h 58 min
  • CAC 40

    8 020,09
    +38,58 (+0,48 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    4 932,13
    +18,00 (+0,37 %)
     
  • Dow Jones

    37 753,31
    -45,66 (-0,12 %)
     
  • EUR/USD

    1,0679
    +0,0005 (+0,04 %)
     
  • Gold future

    2 394,20
    +5,80 (+0,24 %)
     
  • Bitcoin EUR

    57 266,92
    -2 303,70 (-3,87 %)
     
  • CMC Crypto 200

    885,54
    0,00 (0,00 %)
     
  • Pétrole WTI

    82,28
    -0,41 (-0,50 %)
     
  • DAX

    17 795,82
    +25,80 (+0,15 %)
     
  • FTSE 100

    7 885,27
    +37,28 (+0,48 %)
     
  • Nasdaq

    15 683,37
    -181,88 (-1,15 %)
     
  • S&P 500

    5 022,21
    -29,20 (-0,58 %)
     
  • Nikkei 225

    38 079,70
    +117,90 (+0,31 %)
     
  • HANG SENG

    16 385,87
    +134,03 (+0,82 %)
     
  • GBP/USD

    1,2472
    +0,0016 (+0,13 %)
     

Ikea France : procès en appel pour d'anciens cadres suite à l'espionnage de salariés

Alexandr Blinov/Adobe Stock

Un an après, Ikea doit faire face à un procès en appel. Condamné à un million d'euros d'amende en 2021 pour avoir espionné des centaines de salariés pendant plusieurs années, Ikea France n'a pas contesté sa peine et ne sera pas rejugé au procès en appel qui s'ouvre, mercredi à Versailles, pour plusieurs de ses anciens cadres. Au terme de deux semaines de débats parfois houleux en mars 2021, le tribunal correctionnel de Versailles avait également contraint la filiale française d'Ikea à indemniser la majorité des quelque 120 parties civiles, dont des salariés et des syndicats, par des dommages et intérêts compris entre 1.000 et 10.000 euros pour chacune. "Seules trois ou quatre parties civiles ont fait appel" de ces indemnités, a affirmé à l'AFP l'avocat d'Ikea France, Me Emmanuel Daoud, pour qui cela signifie que "95% d'entre elles se sont déclarées juridiquement satisfaites".

L'enjeu de ce procès était "la protection de nos vies privées", selon la procureure Pamela Tabardel, qui accusait la filiale et un de ses anciens PDG, Jean-Louis Baillot, de "surveillance de masse". Le ministère public avait requis deux millions d'euros d'amende à l'encontre d'Ikea France ainsi que de l'emprisonnement ferme pour Jean-Louis Baillot. Ce dernier, qui s'est finalement vu infliger deux ans de prison avec sursis et 50.000 euros d'amende en première instance, avait interjeté appel de la décision qui le reconnaissait notamment coupable de "recel de collecte de données à caractère personnel par un (...)

(...) Cliquez ici pour voir la suite

Cette prothèse pourrait restaurer la mémoire chez les victimes de lésions cérébrales
Bourse : Valneva chute après la suspension de son vaccin contre le Covid-19
CAC 40 : la Bourse en baisse, une nouvelle forte hausse des taux de la Fed se profile
Valorisé à 75 milliards d'euros, Porsche sera lancé en Bourse le 29 septembre
Bourse : CAC 40, Etats-Unis, Apple, Facebook, inflation, ether (Ethereum)… au programme de Momentum cette semaine