Hausse d’impôt : ce que vous coûterait un gel du barème, selon vos revenus

Capital · (Illustration Capital / Freepik)

Malgré les promesses répétées de ne pas augmenter les impôts des Français, les plus aisés d’entre eux ne devraient finalement pas y couper en 2025. Le gouvernement songerait en effet à geler le barème de l’impôt sur le revenu pour 2025. Une piste qui tiendrait la corde pour redresser les comptes publics, selon La Tribune Dimanche et Les Echos, et qui a été évoquée, dimanche 22 septembre, dans les grands traits par Michel Barnier, sur France 2. «Je ne vais pas alourdir encore l’impôt sur l’ensemble des Français», a promis le nouveau Premier ministre, précisant «​​réfléchir à cet effort de solidarité auquel les plus riches doivent prendre leur part». Le locataire de Matignon ayant exclu de cette réflexion «les gens les plus modestes, les gens qui travaillent, les classes moyennes», tout laisse à penser que la hausse des impôts reposera sur les foyers fiscaux les plus fortunés. Et passerait par un gel du barème de l’impôt sur le revenu pour les contribuables situés dans les tranches marginales d’imposition (TMI) les plus élevées, à savoir a minima les TMI de 41% et 45% et potentiellement celle de 30%.

Mais de quoi est-il question ? Pour le comprendre, rappelons que chaque année, l’examen du projet de loi de finances - le Budget - acte la revalorisation du barème de l’impôt sur le revenu au niveau de l’inflation. Et ce, afin de ne pas faire grimper la fiscalité pesant sur les travailleurs quand ces derniers n’ont pas profité d’une augmentation de salaire supérieure à la hausse des (...)

(...) Cliquez ici pour voir la suite

La CAF peut vous aider à acheter un ordinateur : voici comment
Argent liquide : quel est le montant maximum que vous pouvez déposer en banque ?
Impôt sur les sociétés, hausse des charges… comment Michel Barnier veut taxer les entreprises
Impôt sur le revenu : le gel du barème est-il une «hausse déguisée», comme le prétend la macronie ?
Cette nouvelle carte bancaire vous permet de payer sans contact même au-delà de 50 euros