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Gynécomastie : causes, symptômes, traitement

Istock/hector roqueta

Plus fréquente qu’on ne pourrait le penser, la gynécomastie correspond à une prolifération glandulaire bénigne du sein chez l’homme. Causée par un déséquilibre hormonal, cette affection peut être à l’origine d’une réelle souffrance psychologique, voire être révélatrice d’une pathologie sous-jacente.

Contrairement à la femme, l’homme n’a pas les seins développés, en raison d’une sécrétion insuffisante d’œstrogène et de progestérone. Mais il arrive, sous l’effet de divers facteurs, qu’un déséquilibre entre les androgènes (testostérone) et les œstrogènes survienne et produise un développement du sein chez l’homme. On observe plusieurs pics d’incidence de la gynécomastie à différents âges de la vie, puisqu’elle se développe chez 65 à 90 % des nouveau-nés, 22 à 69 % des adolescents, et 36 à 57 % des hommes entre 50 et 70 ans (Revue médicale suisse). Dans ce cas-là, on parlera de gynécomastie physiologique. Celle-ci se distingue de la gynécomastie pathologique qui, elle, est secondaire soit à une prise médicamenteuse, soit à une pathologie engendrant une diminution des androgènes et/ou une augmentation des œstrogènes.

La gynécomastie se caractérise par une hypertrophie de la glande mammaire au niveau de l’aréole, induite par une densité plus importante des tissus mammaires. À la palpation, la zone est ferme, sensible, voire douloureuse. Les deux seins peuvent être concernés par cette prolifération bénigne, précise l’Institut national du cancer. Chez certains hommes, un léger écoulement (...)

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