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Guillaume Meurice : la directrice de France Inter se désolidarise et dénonce un « humour discutable »

JOEL SAGET / AFP

Mardi 31 octobre, l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (Arcom) a indiqué avoir été « saisie à la suite d’une chronique diffusée sur France Inter » et qu’elle « instruira[it] » la séquence de Guillaume Meurice diffusée ce dimanche, dans l’émission de Charline Vanhoenacker. Le chroniqueur a suggéré une idée de « déguisement pour faire peur » pour Halloween, un « déguisement Netanyahou » : « Une sorte de nazi mais sans prépuce. »

Dans un communiqué diffusé par la médiation de Radio France, Adèle Van Reeth, directrice de France Inter, « a rappelé » à l’ordre Guillaume Meurice pour des propos dont la limite du respect et de la dignité « a été franchie ». Selon elle, « qualifier n’importe quel représentant politique de 'nazi' est une outrance, dont le caractère comique peut être, en temps normal, questionné ». De plus, « quand ce représentant […] est lui-même juif, à la tête d’un État juif, dont les habitants viennent de subir une attaque terroriste ayant assassiné plus d’un millier d’entre eux, [c'] est encore plus discutable ».

Néanmoins, selon Adèle Van Reeth, les propos de lhumoriste ne représentent « en aucune façon » le « travail quotidien de la rédaction de France Inter » et « la ligne éditoriale de la chaîne, qui lutte contre l’antisémitisme, le racisme et toutes les formes de discrimination ». Le chroniqueur sest défendu en publiant sur X l'image dune une de Charlie Hebdo faisant référence au droit à lhumour.


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