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Guillaume Gibault, PDG du Slip français, après l'affaire du "blackface" : "Nous allons accuser le coup"

Le 2 janvier, une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux montrait trois personnes déguisées, deux femmes déguisées en boubou, dont l'une avec le visage noirci - un "blackface" -, et un homme déguisé en gorille. Dans la foulée, des internautes ont reconnu sur la vidéo deux salariés du Slip français. L'entreprise de sous-vêtements "made in France" née en 2011 a aussitôt confirmé l'information et condamné les faits dans un communiqué. Une semaine après, Guillaume Gibault, le fondateur et PDG du Slip français, fait le point sur les conséquences de l'affaire.

Une semaine après l'affaire, comment gérez-vous les retombées pour votre entreprise?
Cette affaire privée que je condamne fermement a provoqué un véritable choc et une prise de conscience personnelle et collective sur la persistance des biais et des préjugés pour nos 115 salariés. Elle a renforcé notre volonté de nous engager et de faire évoluer la société, en particulier notre écosystème. Beaucoup de start-up ont une culture formatée par les écoles de commerce avec une grande uniformité de profils. Il n'y a pas assez de diversité dans nos rangs et je voudrais, en tant que citoyen et comme chef d'entreprise, faire bouger les choses pour que cet univers ressemble davantage à la société.

"

Il n'y a pas assez de diversité dans nos rangs et je voudrais faire bouger les choses

"

Les appels au ­boycott de vos produits ont-ils eu un impact sur vos ventes en ligne et donc sur votre chiffre d'affaires, proche de 28 millions d'euros?
Il...


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