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Guerre en Ukraine : la centrale nucléaire de Zaporijjia inquiète

Google Maps/Capture écran

L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) et la Russie ont estimé mardi 6 juin que la centrale nucléaire Zaporijjia, occupée par Moscou, n'était pas menacée après la destruction partielle d'un barrage hydroélectrique, l'Ukraine affirmant au contraire l'existence d'un risque croissant de catastrophe. La Russie et l'Ukraine s'accusent mutuellement d'avoir fait exploser le barrage de Kakhova sur le fleuve Dniepr, dans la partie occupée par la Russie de la région ukrainienne de Kherson.

"Il n'y a pas de danger nucléaire immédiat", a affirmé sur Twitter l'AIEA dont les experts présents sur le site "surveillent de près la situation". La centrale, située à 150 km en amont du barrage de Kakhova qui a été au moins partiellement détruit dans la nuit de lundi à mardi, utilise l'eau du fleuve Dniepr pour refroidir le combustible des cœurs des réacteurs. La direction de la centrale, installée par l'occupation russe, a elle aussi assuré que la situation était sous contrôle.

"A l'heure actuelle, il n'y a pas de menace pour la sécurité de la centrale nucléaire de Zaporijjia. Cinq blocs sont arrêtés à froid, l'un est à +l'arrêt à chaud+. Le niveau de l'eau du bassin de refroidissement n'a pas changé", a indiqué sur Telegram le directeur, Iouri Tchernitchouk. Selon lui, l'eau de refroidissement n'a pas "de contact direct avec l'environnement et l'eau du réservoir de Kakhovka" et le système de refroidissement peut être rempli avec l'eau du réservoir du barrage mais aussi par "plusieurs (...)

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